C’est bien connu, et scientifiquement éprouvé : l’activité physique contribue à la bonne santé cérébrale, et ce, à tous les âges de la vie. Qui plus est, l’exercice retarde l’apparition de maladies neurodégénératives et diminue drastiquement le risque de développer des pathologies chroniques.

Retraite à domicile a donc colligé pour vous certaines informations pertinentes sur la pratique d’une activité physique régulière chez les personnes âgées atteintes de la maladie de Parkinson, de même que sur la façon avec laquelle cette activité peut être le vecteur d’un mieux-être général et contribuer à augmenter l’effet thérapeutique des traitements.

Les Bienfaits Protecteurs De L’activité Physique Sur La Maladie De Parkinson

Lenteurs, tremblements, raideurs et problèmes de mouvement… Tels sont les symptômes de la maladie de Parkinson, qui, par conséquent, portent les aînés qui en sont atteints à diminuer leurs mouvements et leurs efforts physiques. D’ailleurs, les personnes âgées atteintes de Parkinson sont portées à réduire leur activité physique jusqu’à 30 % selon le stade de la maladie.

Or, pour favoriser la capacité motrice, la souplesse, le tonus musculaire et l’équilibre, la pratique d’un sport ou d’une activité physique est primordiale.

Voici donc quelques-uns des effets positifs et protecteurs, tant sur les plans physique que psychique, de l’exercice régulier dans le traitement des aînés atteints de la maladie de Parkinson :

  • Bienfaits physiques
    • Tonus, force musculaire et endurance
    • Souplesse
    • Coordination et équilibre
  • Bienfaits psychiques
    • Bien-être
    • Qualité de vie
    • Diminution de l’anxiété et de la dépression

En outre, l’activité physique régulière permet de prévenir les chutes, grâce à l’amélioration de la mobilité, de la souplesse et des articulations, et de maintenir les capacités physiques des personnes âgées atteintes de Parkinson.

Exercices À Privilégier Pour Les Aînés Atteints De La Maladie De Parkinson

Les personnes âgées atteintes de la maladie de Parkinson peuvent pratiquer de nombreuses activités physiques. Parmi celles-ci, les exercices qui privilégient l’endurance seront de mise : marche, vélo, natation, taï-chi, danse, yoga ou gymnastique douce. En cas de doute, ou si la personne âgée a des questions, il ne faut surtout pas hésiter à demander l’avis d’un médecin, et ce, pour assurer que l’activité choisie réponde aux besoins de l’aîné et qu’elle soit adaptée à ses capacités.

Au fil des dernières années, plusieurs études ont montré que l’activité physique permet non seulement de diminuer les risques d’apparition de la maladie de Parkinson, mais aussi son développement. De plus, l’âge, et les niveaux d’éducation et d’activité physique sont des facteurs de protection contre les maladies neurodégénératives.

Enfin, l’effet protecteur de l’activité physique ne se limite pas aux fonctions cognitives. Chez les personnes âgées qui pratiquent une activité régulière comme la natation, le tennis ou le vélo, le risque de développer la maladie de Parkinson diminue de 40 % par rapport à ceux qui ne font pas d’exercice ou qui pratiquent une activité plus « légère » (exemple : danse ou marche).

Communiquez avec Retraite à domicile dès aujourd’hui pour obtenir une évaluation des services d’activité physique pour les aînés atteints de la maladie de Parkinson et pour discuter de la façon dont nos services à Laval, à Montréal ou sur la Rive-Sud peuvent vous aider ou aider une personne dont vous vous occupez.